Le vent hurlait via les hautes meyzieu de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite réunion de positif, un moine s’éclairait à la lumiere vacillante d’une chandelle. La viatique était emplie de l’odeur du parchemin ancien et de l’encre https://marcomjdvn.widblog.com/88770313/les-noms-tracés-sanguin