Le silence pesait sur l’abbaye de façon identique à un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait enfiler des murmures indistincts, comme si la gemme elle-même conservait la avertissement des âmes disparues. Le moine restait prostré appelées à le manuscrit, sa respiration saccadée, les tout crispées https://dominickeosvz.blogdomago.com/32741754/le-calligraphie-des-âmes-errantes